du boulot ? pas forcémen au bon moment... (pv jack & lyana)

Soupir et râle de plaisirs...

23h, il est encore tôt pour un samedi mais certains sont déjà au lit, bien occuper... c'est le cas de Lyana, se soir, la chasseur à mit la main sur une proie qui semble baigner dans une extase sans pareil. William Rocha, richissime homme d'affaire âgé de 41 ans. Son entreprise ayant était racheter par celle de Lyana, les deux ont décider de faire un peu plus connaissance au cour d'un diner tout ce qu'il a de plus professionnel...enfin, jusqu'à ce que celui-ci finisse par craquer face au charmes de la demoiselle âgé de 20 ans de moins. A califourchon sur lui, lyana est nue, dresser, ondulant son bassin avec grâce, sa longue chevelure tombant en cascade dans son dos se mouvant en rythme de ses mouvements et des caresses de l'homme du la peau fine de la femme. Tout semble aller pour le mieux pour les deux amants, le plaisir est à son comble dans cette atmosphère délicate et sensuel.

- lyana... il faudrait penser à se voir..plus souvent...

- j'y penserais william...j'y penserais...

Un sourire narquois se dessine sur le beau visage de lyana, mal gré ses mots, il n'en n'est rien, en aucun cas elle ne compte le revoir, sa relation s'arrêtera quand elle auras obtenue toute les part de rachat de l'entreprise qui maintenant, ne saurais tarder à arriver entre ses mains. l'homme sourit, lâchant un nouveau râle de plaisir quand soudain, la porte de la chambre s'ouvre et se referme doucement. Lyana tourne doucement la tête et jette un regard derrière elle en direction de la porte, l'œil pétillant, un sourire malicieux aux lèvres et murmure:

- bonsoir patron....

Invité

Il n'était pas si tard que ça, même plutôt tôt pour un samedi. De nombreuses silhouettes erraient dans les rues, et j'en faisais partie. Certaines étaient douteuses, avaient de l'héroïne plein les poches, en vendaient aux enfants ou autres. Je ne m'en préoccupai pas vraiment. Depuis plus d'une heure, j'essaie de joindre Del Vartas sur son portable, et impossible. Manque de bol, je la connaissais bien. Ce n'était pas l'entente cordiale entre nous, mais c'était une bonne recrue, efficace, et avec un pouvoir étonnant. Alors je n'allais pas protester contre sa présence dans mon groupe, bien que son sarcasme soit parfois déplacé.

Je disais donc: je la connaissais bien. Et quand elle s'ennuyait, la chasseuse mettait le grapin sur des hommes sans défense face à son charme redoutable et bang! Elle prenait son pied avant de revenir, mine de rien, au QG. L'endroit où elle va pour ses "ptites affaires" ? L'hôtel, évidemment, le seul de la ville de Sanèn.

Je m'y rendis en maugréant, détestant devoir aller chercher mes recrues dans les bras de leurs affaires d'un soir. J'entrai dans l'hôtel, demandai la chambre de Lyana Del Vartas. Zéro. Alors, je la décris du mieux que je pouvais (et c'était plutôt simple, il faut avouer que je ne manquai pas de l'observer) et j'obtins enfin la chambre. La standardiste me rappela, horrifiée, en disant qu'il y avait un panneau occupé, mais j'haussai les épaules. Elle rajouta:

- Non, n'entrez pas!

Je finis par m'énerver et mentis:

- Ecoutez, ma femme me trompe avec ce connard, j'vais pas la laisser!

Elle ouvrit la bouche, stupéfaite, et j'en profitai pour décamper. J'ouvris la porte de la chambre sans autre sommation. Ben tiens, comme je m'y attendais, c'était l'action là-dedans. Je lançai une chemise à l'homme;

- Dégage d'ici.

Je croisai les bras et ouvris la porte, laissant le gars s'en aller.

A première vu le patron était pas de très bonne humeur, ce qui fit sourire lyana. L'homme sous son corps gracile se redressa brusquement en prenant appuie sur ses avant bras et demanda en pestiférant:

- hey ! c'est quoi se bordel ???

Lyana sourit un peu plus, jack balança une chemise à l'amant de sa recrue en lui ordonnant de dégager rapidement, il valait mieux pour lui qu'il le face. Lyana adorait voir des hommes en pleine dispute, deux mâles se dévorant de haine juste sous ses yeux, rien de plus plaisant. La pièce suintait d'hormone sexuel et masculine, de vraie animaux marquant leur territoire, la scène parfaite au yeux de la jeune femme. William repoussa doucement lyana et sortit du lit, s'approchant d'un pas menaçant face au jeune homme face à lui. Forcément, de part sa carrure, il pesait faire le poid, régler son compte au jeunot qui osait gâcher sa nuit dans les bras de sa muse du moment.

- tu vas me payer ça gringalet !

levant son poing face au visage de jack, il s'apprêtait à le frapper mais cette fois, lyana ne le laisserait pas faire, il y avait des limite tout de même, limite qu'elle n'aimait pas voir franchir juste sous son nez. D'un geste souple du bras, elle fit voler son amant vers la fenêtre qui se brisa sous son poids tandis qu'il dégringolait d'une dizaines d'étages pour s'écraser lourdement sur le trottoir, attirant les spectateur effrayer et dégouter à la vue sur crâne broyer sur le goudron dont le sang se déversait dans le caniveaux. Lyana sourit , l'air frais s'engouffra par la fenêtre briser, faisant voler les rideau blanc de la chambre d'hôtel. Un calme à la fois pensant et délicieux s'installa, lyana se leva, nue, non gêner par son corps et s'approcha de jack.

- un problème patron ? demanda lyana de sa voix sensuel.

Tournant doucement autour de lui, sa main poser sur l'épaule de l'homme, son souffle brûlant caressant sa nuque, elle chuchota:

- vous semblez en colère... y suis-je pour quelque chose ?

Sa voix, bien qu'étant un simple murmure se répercutait sur les murs de la chambre dans un écho de douceur et de sensualité, son regard de glace brillant, pétillant , luisait comme jamais. Elle savait qu'il lui en voudrait de ne pas avoir répondu au téléphone alors qu'elle l'avait entendu sonner, elle avait même pu apercevoir son numéro s'afficher. Elle l'avait volontairement ignorer pour attiser sa colère, sachant qu'il ne résisterait pas à l'envie de venir la chercher en personne... tout cela n'était qu'un jeu, un simple jeu...

Invité

J'eus un mauvais sourire. Il cherchait la bagarre? Il ne tarderait pas à la trouver. Le gars sortit du lit, et je ne retins pas un rire moqueur. Devinez pourquoi... il s'apprêtait à me frapper, je n'esquissais pas un geste. C'était totalement inutile. Je savais très bien que Lyana n'était pas du genre à me laisser me faire frapper comme cela. Oh, je ne me réfugiais pas dans ses jupes (d'autant que pour l'instant, elle n'en avait pas..; ahem) loin de là, mais je trouvai cela inutile de gaspiller de l'eau pour lui. Alors qu'elle pouvait l'envoyer valser à travers la fenêtre... ce qu'elle fit sans effort apparent. J'entendis les os du pauvre homme se briser lorsqu'il atterrit durement en bas.

- Tu n'étais pas obligée de le tuer.

Je n'aimais pas spécialement tuer lorsque c'était possible de ne pas le faire, mais ôter la vie ne me dérangeait pas plus que ça. Après tout, je ne suis pas un fou psychopathe pour rien, non?

Citation :: Un problème patron?

Je ne répondis pas, la laissant me tourner autour, comme elle s'amusait à le faire avec tout le monde. Sauf que je n'étais pas tout le monde, et elle n'allait pas tarder à l'apprendre.

Citation :: Vous semblez en colère... Y suis-je pour quelque chose?

- Règle numéro une, Del Vartas: ton téléphone sonne, tu réponds, que tu sois en train de copuler ou pas. Règle numéro deux...

Je m'écartais d'elle, indifférent à son corps nu. Il faut dire que ce n'était pas la première que je voyais.

- T'évites de m'emmerder quand tu vois que je suis en colère. Et là, tu t'habilles, et je te dirai ce qu'il se passe après.

Bingo ! lyana avait réussis (comme à chaque fois...) à mettre son patron sur les nerfs. Souriant narquoisement, elle dis avec un air faussement étonner:

- je suis vraiment désolé, je n'est pas entendu mon téléphoner sonner !

La femme s'approcha de la table de nuit où son téléphone était poser, elle regarda l'écran qui affichait "6 appels en absence de jack navarro". Elle haussa les épaules et dit:

- oops...

Pendant se temps là, jack essayait de lui faire la morale, ce qui comme toujours, tombait à l'eau (emmerdeuse de première XD).

- allons, allons patron... vous êtes beaucoup trop tendu... un bon bain vous ferais du bien !

Lyana se baissa et ramassa ses affaires éparpiller au sol, enfilant un string noir sans aucune gêne, elle lança un vague regard en coin à son patron puis enfila sa noir de soirée d'un noir ébène moulant ses formes à la perfection. Bah, qu'importe, se n'était pas la première fois pour jack et sa ne serait pas la dernière... Lyana enfila ses escarpins tout en relevant ses longs cheveux qu'elle attacha un peu à la vas-vite, quelques mèches rebelles retombant de part et d'autres de son visage de poupée, ne retirant rien à son charme naturel puis elle lui dit froidement:

- au faite...la prochaine fois, avant de ramener vos fesses ici, attendez au moins que j'ai atteint l'orgasme.

Elle semblait sérieuse et très irriter de ne pas avoir ressentir cette sensation si particulière que procurer l'acte sexuel.

- vous me devez un orgasme patron.

à vous de juger de la manière dont il faut prendre cette phrase, quoi qu'il en soit, la femme emboita sur un autre sujet de conversation.

- alors, quoi de si important pour que vous soyez obliger de venir me chercher ici ?

Invité

Je soupirai. Cette fille était une vraie comédienne, toujours à croire ce qu’elle voulait croire. Pensait-elle que je m’énervais avec son petit manège? Le sourire amusé que j’arborais prouvait que non. Je croisai les bras. Toujours calme à toute épreuve, j’en connais qui l’aurait giflée pour cette histoire de bain. Je me contentais de l’observer se rhabiller en silence. Je ne pus retenir un rire étouffé à ses répliques suivantes.

Citation :: -Vous me devez un orgasme, patron

« Et toi tu me dois le respect, alors tu la fermes un peu. »

Mon ton étais amusé, bien que je ne plaisantât pas et qu’elle le sache parfaitement. Je pris une chaise et la mis à l’envers avant de m’asseoir, posant les coudes sur le dossiers.

« J’ai besoin de deux ou trois trucs. Les dossiers d’un certain Georges Dubois. Tu te débrouilles, tu fais comme avec ce type que t’as jeté par la fenêtre, mais je veux ces dossiers. »

Je ne lui expliquai pas lesquels c’était, de quoi il s’agissait. Ça ne la regardait pas. Pas encore… mais ce Dubois avait des informations sur April Ride et ses manigances. Donc, c’était quasiment vital pour contrecarrer cette petite peste.

« Tu en seras capable? »

Mon ton était doucereux, insinuant qu’elle raterait tout.

ah...les conflits..même quand cela la concernait directement, lyana adorait cela, surtout avec jack, s'était un véritable délice, il répondait à toutes ses insinuations douteuse avec autant de délicatesse qu'elle, ou presque...

- le respect ? sans aucun doute patron.

Un léger clin d'œil accompagner d'un sourire en coin fut lancer à jack. S'installant tranquillement, il expliqua vaguement à lyana ce qu'elle devait faire. La femme s'approcha, ses talons claquant sur le carrelage de marbre de la luxueuse chambre d'hotel, son regard encré dans celui du jeune homme, elle passa ses doigts sous le menton de jack, le gratifiant d'une douce caresse que l'on pourrait penser d'impossible provenant de lyana (sisi ! elle peu être douce aussi des fois XD) et murmura en approchant son visage de celui de son patron:

- si j'en suis capable ? je ne suis pas Lyana Del Vartas pour rien...

Lyana sourit et se redressa puis s'assis sur le lit dont les draps en pagaille suintait encore de la transpiration des deux amants quelques temps auparavant.

- tu auras tout ce qu'il te faut dans moins de deux heures jack... je t'apporterais cela au QG si tu préfère.

Invité

Jack soupira. Cette fille était imbuvable. Elle avait beau avoir un pouvoir hors du commun, dès que Jack n'aura plus besoin d'elle, il se débrouillera pour s'en débarasser. Et cela ne lui causera aucun problème. Il n'était pas sentimental. "Je ne suis pas Lyana Del Vartas pour rien..." pff, Jack lui en aurait filé des claques. Son égocentrisme était presque plus grand que le sien. Ce n'était pas peu dire, et Jack, s'il était narcissique, ne supportait pas celui des autres. Allez chercher.

- Très bien. Deux heures au GQ. Je t'en donne trois, parce que je sais que tu t'amuseras un peu avec lui.

Il ne retint pas un regard méprisant, et reprit sa veste en cuir avant de l'enfiler et de sortir dehors. L'air glacé lui fouetta le visage, et il mit les mains en coupe devant sa bouche, soufflant dessus pour les réchauffer. Marchant à pas rapides dans la rue, il gela l'eau d'un regard sombre, et se rendit rapidement chez lui.
Il devait faire à manger pour sa famille...

[pff, no moquage XD c'est minuscule sorry]

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